Agent général d’assurance chez Swiss Life, Quentin Mallenguery a rejoint le cercle des partenaires du FC Rouen. Bien lui en a pris, car c’est lui qui donnera le coup d’envoi du match face au Mans. 

 

Quentin, pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?  

Je suis Rouennais d’origine, marié, père de deux enfants et j’habite sur le vieux Bihorel. Après dix ans dans l’immobilier, ça fait maintenant sept ans que je travaille dans l’assurance. Je suis agent général indépendant au sein de l’agence Swiss Life de Rouen, spécialisé dans le patrimoine et la fiscalité pour les particuliers et les entreprises. 

Pourquoi avoir choisi de devenir partenaire du FC Rouen ?

Je suis devenu partenaire juste avant le match de Coupe de France face à Monaco. Un ami partenaire du club m’a invité avec ma famille pour le match face à Versailles et j’ai découvert une ambiance particulièrement conviviale et familiale. Exactement ce que je recherchais. Et surtout, j’ai été agréablement surpris par le taux de remplissage du stade et par l’ambiance assurée par les supporters. Très clairement, c’est ce qui a fait la différence. Et puis j’ai rencontré Maxence Monnier (responsable du développement commercial du club) avec qui le feeling est très bien passé.

Quelles sont les modalités du partenariat ?

J’ai pris de la panneautique stade et ce sera d’ailleurs la première fois que mon spot sera diffusé sur les panneaux led lors du match face au Mans Je recherche de la visibilité afin que les gens m’appellent mais le but est aussi de réseauter et de faire du business grâce au FCR.

Avec qui venez-vous au stade ? Amis, famille, clients, prospects ? 

Proches et clients. Pas de prospects, je considère qu’aller voir un match du FCR en loges, c’est une récompense. J’ai beaucoup de clients et pas assez de matchs dans la saison pour tous les récompenser. Cela permet de discuter avec eux d’autres choses que de chiffres, de rentabilité et de réduction d’impôts. Cela renforce les liens.

Quel est votre rapport au foot ? 

J’ai commencé tout gamin, d’abord à Val-de-Reuil puis dans plusieurs clubs de la banlieue rouennaise. Et j’ai un fait de gloire qui est d’avoir participé à la Gold Cup en 2012. Je vivais aux Antilles à cette époque-là et j’ai été repéré par une petite nation qui m’a plus ou moins naturalisé. J’ai fait des matchs FIFA contre Haïti, les Bermudes, Puerto-Rico… Un super souvenir. En revenant en France, j’ai joué au GCO Bihorellais et aujourd’hui, je joue à Saint-Martin-du-Vivier. 

Quelle est votre histoire avec le FCR ? 

J’entends parler des Diables Rouges depuis tout petit. Je ne m’en souviens pas vraiment mais mes parents m’ont dit qu’ils m’emmenaient à Diochon. Pour moi, le club historique de Rouen, c’est le FCR. Ce sont les valeurs qui me ressemblent le plus. C’est un club qui est descendu très bas et qui remonte à force d’abnégation.

Vous attendiez-vous à ce qu’on vous propose de donner un coup d’envoi ? 

Pas du tout ! Cela m’a agréablement surpris. Ma femme et mes enfants seront là, ce sera une belle émotion et une fierté. J’ai pas mal de potes dans le kop, j’espère qu’ils vont bien se tenir (rire).