Max,

Il y a un an jour pour jour, tu nous quittais sans crier gare, laissant derrière toi un vide béant. Pour ta famille et tes enfants bien sûr, pour tes amis dont j’ai eu la chance de faire partie. Et pour la famille du FC Rouen, qui perdait un président droit, ambitieux et passionné. Je te revois encore en tribune, pestant pour une passe manquée ou exultant à chaque but marqué par les nôtres.

Aujourd’hui, pas un jour ne passe sans que je sente ta présence à mes côtés. Et je sais que de là-haut, tu veilles sur nous, sur ce club que tu aimais tant. J’ose croire que tu serais fier du travail accompli par toutes ses composantes, qui agissent au quotidien pour que le FCR retrouve le lustre que tu as connu dans ta jeunesse. C’était ton souhait le plus cher.

À l’heure où nous entrevoyons la lumière au bout du tunnel, l’héritage que tu m’as laissé m’oblige et me donne la force de poursuivre ton œuvre.

Tu me manques.

Ton ami.

Charles